Martine Laroche-Joubert garde des souvenirs forts liés à l’exercice du métier de grande reporter de guerre que cette dernière exerçait. Elle qui partait aux quatre coins du monde appelait sa fille pendant ses voyages et lui faisait partager l’ambiance des événements qu’elle vivait, à l’image du jour où Nelson Mandela est sorti de prison et où la journaliste a appelé sa fille depuis une cabine téléphonique pour lui faire entendre la liesse populaire de la rue. « Quelque chose d’extrêmement émouvant pour moi », a raconté Alexia Laroche-Joubert.