Sweet disaster de Guillaume Le Pape
Un appel ; une conversation qui bouleverse une vie ; rester ou raccrocher ? Pourquoi et comment en arrive-t-on à faire le choix de disparaître sans laisser de trace ? À travers l’écrin de verre et l’intimité d’une cabine téléphonique, on suit la trajectoire d’un mystérieux personnage face à cette pulsion, cette prise de risque radicale et ses conséquences.
https://sceneweb.fr/sweet-disaster-de-guillaume-le-pape/
Ne quittez pas !
Nicolas Givran, avec son théâtre hybride, nourri de créolité, de poésie et de pop culture, cultive un goût certain pour les explorations artistiques en tous genres. Ici, il s’affranchit de la boîte noire du théâtre et s’aventure dans l’espace public autour d’un objet aussi inattendu que mystérieux : une cabine téléphonique. À la fois refuge et confessionnal, ce mobilier urbain d’un autre temps révèle ici toute sa force poétique. Convoqué autour de cet unique élément de décor, le public se voit embarqué pour un voyage dans un espace-temps diffracté.
Un individu s’engouffre dans la cabine, compose un numéro qu’il semble connaître par cœur, lorsque soudain, à nos côtés, retentit la sonnerie d’un téléphone portable. Quand un vestige du passé rencontre un objet du présent, se rembobine sous nos yeux toute la relation intime de deux personnages. Une histoire d’amour ? Une séparation ? Vous le découvrirez bientôt mais surtout : ne quittez pas !

https://www.cdnoi.re/programmation/theatre/cie-qu-avez-vous-fait-de-ma-bonte/ne-quittez-pas,176.htm
Mimos à Périgueux : « Last call », en souvenir des cabines téléphoniques
React public performances se joue de nos rapports au téléphone portable. Il y a moins de 20 ans, c’était encore le temps des cabines téléphoniques.


Moins que rien d’Eugène Durif. Mise en scène de Karelle Prugnaud
Pour cette pièce Bertrand de Riffignac est immergé dans une cuve de type cabine téléphonique qui se remplie progressivement d’eau froide pendant environ 3/4 d’heure et soumis à des ondes sonores simulant des expérimentations militaires pour obtenir des aveux. Travail d’1 inventivité très personnelle et sans limite de Karelle Prugnaud pour donner corps à la parole de Durif, avec cabine téléphonique transformée en aquarium pour humain.

https://www.revue-frictions.net/2024/06/27/feu-dartifice-a-villeurbanne
« Tousèl » de la Compagnie Zopiok
Un homme, ayant élu domicile dans un coin de rue non loin d’un réverbère, passe le plus clair de son temps à entretenir une cabine téléphonique et semble attendre désespérément un coup de fil… Ce solo, à la croisée des arts de la prestidigitation, de la manipulation d’objet, du théâtre physique, du mouvement chorégraphique et du clown, interroge la solitude et les questionnements qui en découlent. Par quoi sont traversés ces songes ?
Ne quittez pas, une création de la compagnie Qu’avez-vous fait de ma bonté ?
Avec cette romance tendue par le fil du combiné d’une cabine téléphonique, auquel Nicolas Givran s’accroche pour tenter de joindre celle qu’il aime, le Centre dramatique national de l’océan Indien donne la tonalité de sa première moitié de saison
https://www.zinfos974.com/lolita-tergemina-veut-faire-du-cdnoi-la-maison-de-la-creation
L’Ellipse, d’Elsa Revcolevschi
On découvre une myriade d’objets, d’époque ou non, qui dialoguent ensemble comme un puzzle géant. Machine à écrire, cabine téléphonique, vieux exemplaires du magazine Match, affiches et cartes postales, le tout avec un objectif : créer un univers qui oscille entre le cabaret et des bureaux de presse.

Moins que rien
Le spectacle Moins que rien sera aussi un grand moment. Karelle Prugnaud signe une mise en scène spectaculaire autour d’un « parcours de l’aveu ». Le comédien Bertrand de Roffignac se retrouve suspendu à une grue et plongée dans une cabine téléphonique remplie d’eau. C’est une réflexion profonde sur la notion de vérité, de justice, de torture… Toutes ces propositions engagées nous invitent à regarder notre monde différemment.

Jusqu’à ce qu’on meure de Brigitte Poupart
Comme dans la dernière création de La Horde, une voiture est prétexte à la danse pour une séquence trop appuyée et démonstrative à la West side story. C’est quand la troupe se démène sur un plan incliné, sur une cabine téléphonique dézinguée et surtout dans une cuisine renversée (toues les meubles sont fixés sur le mur du fond) qu’elle donne le meilleur d’elle-même, obligée d’inventer des gestes, des relations heurtées et ambivalentes. La lointaine trace du meilleur de Zimmermann et De Perrot apparait en filigrane. Avant que tout ne finisse (ou ne commence) par la furie du voguing et du waacking, et la libération des corps dès lors que la boule à facettes luit.
https://sceneweb.fr/jusqua-ce-quon-meure-de-brigitte-poupart
Théâtre : et si vous deveniez comédien le temps d’une pièce ?

Kalvakat show présente sa nouvelle création. Bwana est une pièce écrite et mise en scène par Richard Tassot, l’un des membres fondateur de la troupe de théâtre amateur
Sur cette petite place d’un quartier parisien, Antillais et Africains se côtoient au quotidien. Esnikel et Manga se disputent l’utilisation d’une cabine téléphonique.
https://www.guadeloupe.franceantilles.fr/divers/bwana-une-piece-de-kalvakat-show-480179.php
Jusqu’à ce qu’on meure imaginé par Brigitte Poupart

Au début était la mort. Dans une grande pièce ravagée par on ne sait quel cataclysme, des corps inertes sont déposés au milieu de décors de fin du monde. Rideaux déchirés flottant au vent, carcasse de voiture accidentée, cabine téléphonique sur laquelle un homme sans vie est juché. C’est ce tableau apocalyptique qui accueille les spectateurs à leur entrée dans la grande salle de l’Arsenal où sont dispersées çà et là des scènes aux formes et aux allures diverses. Sur une musique au rythme entêtant signée Alex McMahon, les cadavres doucement s’activeront. Et le temps remontera sa course. Pendant 80 minutes, les spectateurs vont voir défiler tout autour d’eux des tableaux où la vie reprendra son cours avec effervescence.
« La Collection » d’Harold Pinter mis en scène par Ludovic Lagarde au Théâtre de l’Atelier du 30 mai au 25 juin 2023
Dans cette pièce fragmentée, les outils de mise en scène sont clairs : l’écriture de Pinter, l’imagination des artistes, l’interprétation des comédiens, des spectateurs, et… une cabine téléphonique qui disparaît.
« Maxillaire & Guibole » (compagnie Rêveurcibles) : spectacle comique sur l’installation d’une cabine téléphonique et des… super-héros.

Un monde meilleur
En arrivant, vous trouverez une mystérieuse cabine téléphonique dans laquelle vous pourrez vous poser… Et discuter en toute discrétion avec les artistes. De ces échanges naîtront une succession de scènes entièrement improvisées. Un joyeux bordel bien orchestré par le trio de la Cabale !
https://my.weezevent.com/un-monde-meilleur
Marion Motin, danseuse reconnue sur la scène hip-hop, fait une première incursion attendue à l’Opéra de Paris

Baptisée The last call, sa création propose une histoire simple : un homme décroche le combiné d’une cabine téléphonique. Au bout du fil, la mort l’attend. Est-ce la sienne, celle d’un proche ? Au spectateur de se faire son idée. 30 minutes d’une danse forte et captivante, sur une scène dépourvue de décor hormis une cabine téléphonique, disent toutes les questions qui hantent celui qui a perdu un être cher – pour elle, son père -, et sauvent de la déréliction.
Une cabine téléphonique sur les champs Elysées, des ours accompagnés de leurs doudous, des coccinelles amoureuses…
https://www.lindependant.fr/2023/06/20/spectacle-cor-dartista-presente-love-is-all-11289069.php
Les acrobaties de Maxime, Guillaume de la Cie Rêveurcibles autour de leur cabine téléphonique

La grosse clique : 3 époques, 3 cabines, 3 mondes qui se parlent à travers des âges, des fils et des mensonges : un texte rythmé où la vie de gens ordinaires rencontre la grande histoire !

Le coup de cœur du Off 2022 : Téléphone-moi.

Compagnie F.O.U.I.C, Même rue, même cabine

Toutes ces histoires se croisent dans une cabine téléphonique, lieu magique symbolisant à lui seul un monde qui court après le temps, où s’arrêter pour parler est devenu obsolète. Ce confessionnal hermétique aux oreilles du monde ouvre la parole à leurs vies secrètes, s’entremêlant parfois furtivement.
https://maisonculture.fr/spectacle/allosorus
Jacques Koskas, La cabine téléphonique
Délires et coups de théâtre à propos d’un usage méconnu de la cabine téléphonique et des conséquences inattendues de sa suppression dans l’espace public.
https://www.leproscenium.com/Detail.php?IdPiece=19891
Compagnie de Petit Monsieur, en Dérangement
Imperturbable, silencieux et obstiné, le Petit Monsieur tente d’incroyables ruses acrobatiques pour parvenir au combiné tant convoité.
https://www.petitmonsieur.com/en-derangement-2/
Lionel de Messey, La cabine téléphonique
Dans un jardin public, une cabine téléphonique où il se passe de drôles de choses !
https://www.leproscenium.com/Detail.php?IdPiece=10557
Projet artistique en lien avec la compagnie théâtrale Fouic et le Carré, La cabine téléphonique des années 1990 s’invite en ville
En lien avec la compagnie théâtrale Fouic et Le Carré, la photographe va réaliser une série de clichés autour de cet appareil des années 1990, qui a complètement disparu du paysage français en 2017. Le projet, appelé « Déconnexion », a pour objectif d’interroger notre rapport actuel au téléphone portable.
Une cabine téléphonique installée sur le parvis de l’auditorium de Lyon. Elle sonne toutes les 5 minutes. Décrochez, c’est pour vous!
Des conversations par SMS avec des personnages de théâtre, des cabines téléphoniques qui sonnent dans l’espace urbain, rien que pour toi, ou ouvrir des brèches poétiques vers un au-delà téléphonique.
http://cargocollective.com/ampouletheatre/filter/CABINE-TELEPHONIQUE/INSTALLATIONS-TELEPHONIQUES
Projet alternatif, La cabine vous appelle
Clermont-Ferrand : « La cabine vous appelle » ou comment des comédiens jouent des textes au téléphone.
Compagnie F.O.U.I.C, Téléphone moi !
Dans la seconde moitié du vingtième siècle, on assiste à l’éclosion puis à la mort des cabines téléphoniques, partie de notre territoire affectif commun. Nous suivons ici l’histoire d’une famille sur trois générations, avec pour point commun leurs moments secrets dans une cabine, au fil de différentes époques.
https://maisonculture.fr/spectacle/telephone-moi
Caroline Guiela Nguyen, Fraternité, conte fantastique
Imaginez pouvoir parler à vos proches qui sont morts. Ce n’est pas de la science-fiction : ce principe existe à Otsuchi, dans le nord du Japon, une ville ravagée par le tsunami de 2011. Là-bas existe un lieu, une cabine téléphonique dans laquelle il est possible de laisser un message aux disparus. On l’appelle le « téléphone du vent ». Cette idée réconfortante est reprise au théâtre dans une pièce qui imagine comment survivre après une catastrophe.